Matinale Communiquez sans fausse note

Matinale Communiquez sans fausse note

Barberine d’Ornano, Anne Guiraud-Bonneau et Mathilde Ferrey-Pereira auteures du cahier d’entraînement « Communiquez sans fausse note », chez ESF Editeur ont partagé avec leurs participants  à cette matinale leur énergie concertante et leurs bons conseils de communication managériale.

Fort de leurs enseignements, chacun est reparti faire ses gammes et acquérir l’agilité d’un virtuose de la communication pour mieux faire entendre sa musique au sein de son équipe ou de son entreprise ou organisation.

 

Facilitez vos prises de décisions !

Chaque jour nous décidons comme nous respirons. Sans même y penser, nous choisissons de prendre un café ou un thé ou de nous rendre à un rendez-vous en métro ou en voiture.

Nous sommes aussi amenés à prendre de grandes décisions à titre personnel ou dans la sphère professionnelle. Concilier nos désirs et la complexité de situations importantes n’est pas chose aisée, dans un environnement toujours plus exigeant.

Ce cahier d’entraînement, au ton alerte et ludique, vous permettra de développer votre capacité à décider, une compétence essentielle non seulement pour son efficacité professionnelle, mais également pour son équilibre personnel et une meilleure estime de soi.

A l’aise à l’oral

Ce cahier d’entraînement constitue une méthode originale et ludique  qui permet d’acquérir les bons réflexes et réussir ses interventions en public en toutes situations.

Ce vade-mecum permet de surmonter ses appréhensions et se faire comprendre en public en toutes circonstances.

Véritable outil de progrès, il permet de :

  • prendre conscience de ses talents d’orateur et dépasser ses peurs ;
  • construire sa confiance avec méthode ;
  • préparer sereinement ses interventions ;
  • installer un vrai dialogue avec son auditoire en l’impliquant ;
  • progresser jour après jour dans ses présentations à l’oral.

Il propose une compilation de quiz, d’auto-évalutations, de check-lists mais également des exercices de réflexion, d’observation et de prise de recul qui permettent au lecteur de savoir où il en est tout en découvrant des pistes d’amélioration. Il renforce ainsi ses zones de confort et d’expertise.

Ce cahier s’adresse à toute personne amenée à prendre la parole en public : chef d’entreprise, manager, chef de projet, membre de groupe de travail, formateur, étudiant…

Le télétravail, c’est maintenant et ça marche !

Le télétravail, c’est maintenant et ça marche !

Le télétravail s’impose depuis plusieurs années comme alternative au modèle d’organisation de l’espace de travail et à l’allongement des déplacements entre le domicile et le lieu de travail, dans les grands groupes industriels, les petites entreprises et maintenant dans les trois secteurs de la fonction publique. Il répond à un besoin réel de plus grande flexibilité dans les entreprises et les organisations et s’inscrit dans les programmes d’amélioration de la qualité de vie au travail.

Les mentalités évoluent et Reor accompagne les entretreprises et les administrations dans la mise en place des accords de télétravail. Elle propose des solutions qui facilitent cette démarche et révèle les styles de management nécessaires pour accompagner son développement.

Cette réflexion sur le télétravail  souligne les points suivants :

  • Le télétravail permet de résoudre l’insatisfaction croissante des agents et des salariés confrontés à des temps de trajet domicile-travail de plus en plus longs et des rythmes de travail de plus en plus soutenus.
    • Le télétravail peut être intégré dans une stratégie d’amélioration de la qualité de vie au travail et de prévention des risques psychosociaux.
    • Le télétravail, levier de changement majeur, offre une voie nouvelle pour faire évoluer une organisation du travail fondée sur moins de contrôle et plus de responsabilisation et de confiance réciproque, moins de fonctionnement hiérarchique et plus de gestion en mode projets, moins d’unicité d’horaires et plus de flexibilité.

Afin de faciliter la transition vers cette nouvelle organisation du travail, il convient de définir des dispositifs d’accompagnement du changement, tant pour les agents et les salariés directement impactés par la réorganisation, que pour les managers qui ont pour mission de :

  • donner du sens à la transition en clarifiant et en expliquant le « pourquoi » avant le « comment » à leurs agents et salariés ;
  • communiquer régulièrement en interne sur l’avancée du projet ;
  • rester attentifs au bien-être au travail de leurs équipes et à la prévention des risques psychosociaux ;
  • favoriser l’acquisition de savoirs, savoir-faire et savoir-être pour davantage de fluidité dans les actions et dans les rapports avec les travailleurs à distance ;
  • accompagner les changements dans toutes leurs dimensions en s’appropriant les outils du management à distance, en fédérant les équipes autour de projets communs et en développant le sentiment d’appartenance à l’entité nouvellement créée.
Seuls ceux qui ne font rien n’échouent pas 

Seuls ceux qui ne font rien n’échouent pas 

Citation d’Henry Ford.
Nombre d’exemples viennent étayer la conviction d’Henry Ford :
– pas moins de 10 000 tentatives infructueuses avant qu’Edison ne mette au point l’ampoule électrique à incandescence : « Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10 000 solutions qui ne fonctionnent pas. » ;
– 9 000 tirs ratés, 300 matchs perdus par Michael Jordan, l’un des meilleurs joueurs de basket au monde ;
– le premier “rice cooker” de Sony ne faisait pas cuire le riz, il le brûlait !
Certes, essuyer un échec ne va pas de soi.
Un revers peut parfois faire douter de son projet, voire de soi, ou bien encore nous mettre en difficulté vis-à-vis de nos pairs, hiérarchie, partenaires, ou clients.
Face à l’insuccès, tous ne réagissent pas de la même façon. Certains font preuve d’une assurance enviable ; ils relativisent, et « remontent sur le cheval ». D’autres renoncent, imputant leur infortune à des facteurs extérieurs ou à la malchance. Enfin certains campent sur leur idée ou façon de faire. La différence ? Ce ne sont ni leur expertise, ni leurs capacités, ni leur créativité respectives, mais bien plutôt leur capacité à considérer l’échec comme une expérience sur laquelle s’appuyer.
Comment transformer un revers en expérience ?
Quelques clés permettent de ne pas se démonter face à l’adversité.

  • Faites attention à votre propension à broyer du noir tout en minimisant le positif.
  • Ancrez-vous dans la réalité : quels sont les faits ?
  • Décentrez-vous : la situation est-elle aussi critique que je la vis ? Comment quelqu’un d’autre la percevrait-il ?
  • Faites la part des plus et des moins : qu’est-ce qui a fonctionné, quels sont les effets positifs ? Où est-ce que ça a coincé ? Quelle est la part de causes extérieures, celle de nos erreurs
  • Rebondissez : comment faire les choses autrement ?
  • Sollicitez des personnes « ressources ».
  • Faites fi du regard des autres.

Ancrons et développons une culture du rebond !

Barberine d’Ornano
Consultante senior chez Reor

Illustration de l’article : La Batterie et la Salle de Contrôle dans la première station d’éclairage électrique Edison en 1882.

Accepter de travailler en mode dégradé

De nombreuses équipes ont dû s’adapter à une forme de travail à distance imposée et en partie improvisée. Dans ce contexte contraint, il est souvent difficile, voire impossible, de travailler « comme avant » ou « comme d’habitude », et d’assurer un niveau de prestation équivalent à ce qui est produit couramment. Quand on n’a pas le choix, le fait de travailler et de produire en mode dégradé reste la meilleure option possible. Encore faut-il le reconnaître et l’accepter…

 Nos conseils

Certains collaborateurs peuvent se trouver en situation de sous-activité et culpabiliser en ayant le sentiment d’une moindre utilité. D’autres au contraire vont se trouver en suractivité, tout en se sentant moins efficaces que d’habitude. Et de fait, alors que le travail à distance s’installe dans le temps, alors que la frontière entre travail et vie privée est parfois ténue, avec un risque de surmenage dans certaines situations, l’acceptation du « mode dégradé » reste difficile pour de nombreux professionnels.

Le manager doit veiller à faciliter cette acceptation, à plusieurs niveaux :

  • il doit tout d’abord adapter son degré d’exigence et définir avec chacun et avec l’équipe ce qu’il est possible de faire, le niveau de qualité qu’il est réaliste d’atteindre, ainsi que les nouveaux critères associés.
  • il doit aussi veiller à ce que le collaborateur ne développe pas un sentiment de culpabilité ou la sensation de « mal faire son travail ». Cette mésestime n’apporte rien et constitue au contraire une entrave à l’action. Il faut accepter l’imperfection, tout en cherchant en permanence, à améliorer ce qui peut l’être dans la situation perturbée.
  • il doit enfin faire valider les nouvelles modalités de travail par sa ligne hiérarchique, et les expliquer auprès des bénéficiaires qu’il s’agisse de « clients internes » ou de « clients externes ».

Ce que je pourrais faire de plus

  • Donner régulièrement l’occasion à mes équipiers de présenter leurs réalisations, afin de valoriser la contribution de chacun.
  • Assurer un suivi individualisé de chaque collaborateur, et l’accompagner dans la définition et l’acceptation des nouvelles normes temporaires de son activité.

Organiser le travail en période de confinement

Même des collaborateurs expérimentés peuvent se trouver déstabilisés par le caractère inédit de la situation : difficultés à s’adapter au télétravail et à ses outils ; difficultés à maintenir la distance entre vie professionnelle et vie personnelle… Les clés : clarifier, simplifier, donner de l’autonomie, informer.

Nos conseils

  1. Définissez avec chaque collaborateur et avec l’équipe ce qu’il est possible de faire :

– les activités prioritaires, nécessaires à la continuité du service ;
– celles qui doivent être adaptées ;
– celles qui doivent être reportées ;
– les activités nouvelles à imaginer pour répondre au contexte ou anticiper ses conséquences ;
– les compétences à développer pendant ce temps suspendu.

2. Fixez des objectifs précis et atteignables, le niveau de qualité qu’il est réaliste d’atteindre, et les nouveaux critères associés, quitte à les ajuster suivant l’évolution de la situation.

3. Répartissez le travail de la manière la plus équitable et équilibrée possible, en tenant compte des contraintes de chaque collaborateur (prise en charge de jeunes enfants, logement exigu, équipements disponibles…).

4. Définissez des échéances pour la mise en œuvre des actions. Avec le confinement, le temps s’écoule différemment. On perd ses repères ! Il devient difficile de dater certains événements : était-ce la semaine dernière ? ou la précédente ?

5. Créez une organisation la plus simple et la plus fluide possible. La complexité peut générer du stress et être mal comprise ; allez à l’essentiel.

6. Circularisez l’information et évitez la sur sollicitation numérique…

7. Faites des points réguliers avec chacun sur ses activités. Si besoin, aidez vos collaborateurs à structurer leur temps : journée, semaine…

8. Veillez au risque de surcontrôle de l’activité. Mettez en place un suivi accessible à tous et soyez généreux de feedbacks, de signes de reconnaissance.

 

Ce que je pourrais faire de plus

  • Consigner dans un carnet de bord les dates de mes échanges avec chacun et les commentaires qualitatifs sur leur état de forme.
  • Noter ce qui n’est pas fait, ou ce qui est réalisé de manière inhabituelle, pour garder la trace de ce qu’il conviendra de remettre à niveau dans une phase ultérieure.

Maintenir l’esprit d’équipe

On est plus fort en équipe que seul. Le travail à distance, couplé au confinement, peut accroitre le sentiment d’isolement. Quid de la satisfaction des besoins fondamentaux de chacun ? Être rassuré ; pouvoir compter sur autrui ; ne pas être mis à l’écart ; agir… La période actuelle peut constituer une opportunité pour développer d’autres formes de convivialité, d’échanges et du « travailler ensemble ».

Conseils

  1. Imaginez de nouvelles formes de convivialité : rituels de début de journée (café croissant virtuel…, une façon de démarrer la journée ensemble, et de poser un cadre de travail), pauses « machine à café », « virtual goûter », partage des hobbies…
  2. Déterminez un planning de rendez-vous individuels et collectifs, en sachant qu’en période difficile, mieux vaut des interactions régulières, plus fréquentes et plus courtes. Définissez collectivement les règles du jeu: à quels moments, à quelle fréquence, comment échanger, en tenant compte des contextes individuels (possibilités de connexion, situation personnelle) et dans le respect des bornes horaires de travail.
  3. Posez le cadre de ces échanges : clarifiez ce qui sera traité individuellement, collectivement, par quels moyens et par quels outils. Cadrez les ordres du jour. Rédigez un relevé de décisions orienté action (qui fait quoi pour quand). Mettez en place des répertoires et dossiers partagés pour contenir le flux des courriels. Développez le réflexe « incrémenter » la dernière version d’un support !
  4. Soyez catalyseur d’énergie : soulignez ce qui avance, ce qui fonctionne, les succès ou défis relevés. Remerciez. Veillez à la chaleur et à la convivialité des propos, à l’expression des émotions : sachez réfréner vos éventuelles impatiences de production pour consacrer du temps utile à la cohésion. Exportez les inquiétudes, questionnements, peurs, doutes en permettant qu’ils s’expriment et en cherchant collectivement des réponses possibles. Rassurez.
  5. Gardez un lien direct et personnalisé avec chacun : décrochez votre téléphone pour prendre des nouvelles et faire un point sur les activités. Tentez d’identifier les signaux faibles qui pourraient cacher des difficultés. Montrez-vous disponible.
  6. Soutenez les coopérations à distance : en favorisant le travail en binôme et le partage d’expériences. Suscitez, valorisez la solidarité, l’entraide et le soutien entre les collaborateurs. À distance, chacun peut développer le sentiment d’en faire plus que son collègue ! Rappelez les valeurs de votre collectif et incarnez-les.

Ce que je pourrais faire de plus

  • Rappeler la raison d’être de l’entreprise ou de l’organisation en cette période d’incertitude.
  • Echanger avec mes pairs, avec mon manager.
  • Susciter la création d’un groupe de co-développement.
  • Me (re)plonger dans la lecture de « L’Élément Humain » de Will Schutz.
Je préfère vivre en optimiste et me tromper, que vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d’avoir eu raison

Je préfère vivre en optimiste et me tromper, que vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d’avoir eu raison

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Anders Osterlind – Arbre dans un pré, 1947

Citation de Milan Kundera.
Sans l’élan vital qu’est l’optimisme, est-ce que nous nous lancerions dans des relations, des études, des projets, la prise de responsabilités, etc. ?
L’impact de cette attitude sur notre énergie, nos relations aux autres, notre santé et notre longévité a depuis longtemps été démontrée par les médecins et les psychologues.
Loin de la naïveté candide avec laquelle on le confond parfois, l’optimisme est un état d’esprit assumé et exigeant qui possède ses propres règles. Sa pratique est génératrice d’événements positifs et d’opportunités nouvelles.
Comment acquérir de l’optimisme ?

  1. Regarder d’abord ce qui va, s’appuyer sur les forces et les atouts. Ce qui ne signifie pas que tout va bien ! Gare à la tentation du « verre à moitié vide » qui sournoisement peut nous faire glisser vers le découragement et l’inaction !
  2. Mettre notre énergie là où l’on dispose de leviers…. et accepter qu’il existe des difficultés définitivement ou momentanément impossibles à résoudre.
  3. Être orienté « solutions » en intégrant, lucidement, qu’elles sont par définition imparfaites et temporaires. Poser un acte, même minime, emporte des effets bénéfiques !
  4. Capter, saisir les opportunités ! De quelle façon ? En s’imprégnant mentalement d’un projet, en prêtant attention au potentiel des situations rencontrées, et en représentant soi-même une valeur qui pourra être perçue par les autres, telle que information donnée, mise en contact, service rendu, écoute sincère, soutien affiché, signe de reconnaissance explicite.
  5. Trouver la juste distance vis-à-vis des revers et des aléas. Ne pas nier les émotions négatives ressenties : tenter de les considérer comme momentanées, en les replaçant dans leur contexte.

S’interroger sur les perspectives qui s’ouvrent : changement de mode opératoire, changement de voie, etc. À l’heure où la négativité et la méfiance n’en finissent plus de faire la une des médias, d’alimenter les conversations ordinaires et de miner les relations, cultiver l’optimisme est plus que jamais une cause prioritaire !

A propos des auteurs cités
Milan Kundera est un écrivain né en 1929 en Tchécoslovaquie, naturalisé français en 1981.
La peinture Arbre dans un pré, 1947, est d’Anders Osterlind, peintre français, 1887-1960.

Barberine d’Ornano
Consultante senior chez Reor

La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et dans sa capacité à recevoir

La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et dans sa capacité à recevoir

Citation d’Albert Einstein.

Georges Braque, Les Oiseaux, plafond de la salle Henri II du musée du Louvre, 1953

Imaginez ! Vous poussez la lourde porte du métro. À six ou sept mètres derrière vous, une personne : vous lui tenez la porte, par politesse. Elle accélère le pas. Arrivée à votre niveau, elle vous remercie… et tient la porte à la personne suivante.  Et ainsi de suite.

Cette situation illustre le principe du don et du contre- don : A donne à B qui donne à C, lequel rend à D.
Cette dynamique du « donner-recevoir-rendre », mise en lumière par Marcel Mauss, est essentielle dans une équipe, en particulier en période de complexité, d’urgence ou d’incertitude :

– savoir demander, sans exiger ;
– accepter les « dons » ;
– donner sans condition ;
– rendre.

Cette réciprocité bien comprise entre informations, idées et coups de main, est le terreau qui alimente la performance collective et le bien-être au sein des équipes.

La performance collective dépend de cette envie de participer… et de l’énergie des managers à promouvoir la coopération comme principe d’action !
Pour favoriser la coopération :

  • Encouragez la communication ouverte et le partage d’informations entre les membres de l’équipe.
  • Valorisez le travail d’équipe et reconnaissez les contributions individuelles à des objectifs communs.
  • Organisez des activités de renforcement d’équipe pour favoriser la collaboration et renforcer les liens entre les membres.
  • Créez un environnement de confiance où chacun se sent à l’aise pour exprimer ses idées et ses préoccupations.
  • Favorisez la diversité pour stimuler la créativité et la résolution de problèmes.
  • Impliquez activement les membres de l’équipe dans le processus de prise de décision et valorisez l’apport de chacun et chacune.
  • Établissez des objectifs clairs et partagés pour l’équipe, en mettant l’accent sur la réussite collective plutôt que sur les réalisations individuelles.
  • Récompensez et reconnaissez publiquement les comportements coopératifs et les réussites de l’équipe.

La coopération est le choix gagnant pour construire des équipes plus fortes, plus résilientes et plus innovantes !

Barberine d’Ornano
Directrice associée chez Reor

A propos des auteurs cités

Albert Einstein (1879-1955)
Prix Nobel de Physique en 1921.
Il publie sa théorie de la relativité restreinte en 1905 et sa théorie de la gravitation, dite relativité générale, en 1915. Il contribue largement au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie.

Marcel Mauss (1872-1950) est un philosophe et anthropologue français. Il enseigne l’histoire des religions primitives à l’École pratique des hautes études puis la Sociologie au Collège de France. Il est considéré comme le père de l’anthropologie. Il co-fonde l’Institut d’ethnologie de Paris. Son texte le plus connu, Essai sur le don, paraît en 1925.

Georges Braque (1882-1963) est un peintre, sculpteur et graveur français. Il figure parmi les représentants majeurs de l’art moderne en France. Fauve puis cubiste, il peint notamment, de 1952 à 1953, Les Oiseaux pour le plafond de la salle Henri II du musée du Louvre.